Photo Frantz Thiessard
« C’est beau une ville la nuit » écrivait Richard Borhinger.
On y croise des moments de solitude, des couples qui murmurent et des amis qui chahutent, des passants pressés et des personnes lasses, des groupes en colère…
Et les façades des rues changent d’apparence. Elles se fondent dans l’ombre ou s’éclairent de néons. Les éclairages ponctuent les rues de tâches de lumière et de reflets.
Oui, c’est beau, une ville, la nuit.
Elle prend des ambiances de Jazz.